Archives de catégorie : photomodélisation

3D-photo – La Joselière, relevé Photosynth

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Photosynth a été utilisé pour faire le relevé de la Joselière. Une collection de 121 photographies pour une corrélation de 100 % a été engagée.image

Le temps couvert était idéal pour obtenir une lumière uniforme et diffuse, toutefois, la très faible luminosité a donné des contrastes (équivalent occlusions ambiantes) très faibles.

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Le nuage de points :image

Le nuage en vue de dessus donne le plan de l’édifice :image

Le relevé photographique n’incluait pas de vues intérieures.

Comparaison avec le levé de L’Helgouach : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rao_0767-709x_1989_num_6_1_932 – plan de fouille et reconstitution.

josefouille josereconst

josesuperposition

La superposition du nuage et des relevés reste cohérent. Un relevé laser permettrait de valider la justesse véritable des positions.

Le nuage exporté au format PLY, une fois nettoyé, il reste environ 60 000 exploitables.image

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La passe par défaut ne donne pas de bons résultats, il y a trop peu d’informations, particulièrement sur les faces supérieures.image

Le maillage reste sommaire.image

Photosynth donne de bons résultats pour restituer le plan de l’édifice et les proportions générales, la remodélisation est ici contrainte par le faible nombre de points malgré les 121 photos et le manque d’informations sur les parties supérieures de l’édifice. Une campagne de prise de vues complémentaires devra couvrir l’intérieur et le dessus du mégalithe.

3D-photo – Hypr3D–123DCatch, test sur le cairn de la Joselière

Le cairn de la Joselière possède une forme complexe, les dalles sont très irrégulières, mais de couleurs proches, il y a une imbrication formelle que les logiciels de photogrammétrie peinent à résoudre.

Le test Hypr3D

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Les différents formats sont extraits pour examen. L’ouverture dans Sketchup confirme qu’une partie de l’arrière plan a été pris en compte et maillé.

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Après nettoyage…image

La confusion entre les différents plans et surtout les plans lointains demande un gros nettoyage. A noter toutefois que ce test est réalisé sur un échantillon faible de vues (17).

Le nuage au format PLY contient les mêmes erreurs :image

Après nettoyage, la façade apparait :

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Puis est maillée :image

Le maillage brut doit ensuite être complété et repris en plusieurs points.image

Le résultat donne une bonne approche, avec seulement 17 photos prises à 6-7 m par très faible luminosité. Il reste un effet “plomb fondu” du fait de la médiocre résolution des détails.

Exploitation de l’export DAE :

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Le rendu avec texture donne un résultat visuel correct, même si la géométrie n’est que peu fidèle à la réalité.image

Le test 123DCatch

Avec le même jeu de photos, le test est renouvelé sur 123DCatchimage

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Les 17 vues sont reconnues et assemblées. Le photoréalisme est impressionnant du fait de l’utilisation d’une vrai texture et non d’une couleur par points.

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Le modèle 3D exporté au format OBJ possède un maillage assez dense, avec malgré tout, de grandes zones lacunaires.image

Le rendu, du fait de la texture, donne une bonne impression de précision.

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Des prises de vue complémentaires complèteront les zones lacunaires.

3D-photo – hypr3d, test sur le menhir de Kermaillard

Hypr3D est un service de photomodélisation mis en place en 2010. http://www.hypr3d.com/

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Le fonctionnement se fait entièrement à partir de la page web, téléchargement des photos et calcul de la forme.

Le résultat donne un modèle 3D consultable sur le web. La réalisation est particulièrement précise.image

Le nuage de points et le maillage. La densité est peu importante comparé à 123Dcatch. C’est la résolution de la consultation en ligne.

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Le modèle peut être téléchargé à différents formats dans une archive unique :

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Le format haute résolution PLY possède un nuage régulièrement distribué, les zones plus couvertes en photographie sont plus dense en terme de point. Nota : le nuage est orienté avec le Y vertical.

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Modèle reconstruit et son maillage, comme pour Photosynth, la texture est donnée par la couleur des points. LA densité au niveau de la gravure est donnée par le mode d’affichage (arêtes visibles).

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Comparaison des différents maillages issus de Hypr3D. Le STL possède une échelle autre, de fait il est en échelle pieds/pouces, contrairement aux nuages auxquels il a été donné d’imposer l’échelle.

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Deux autres fichiers sont disponibles, au format DAE en haute et basse résolution. Pour le test, il sont ouverts dans Sketchup et 3DsMax. Les DAE utilisent une texture en JPG générée par le Hypr3D.image

L’importation dans Sketchup se fait sans soucis pour le modèle basse résolution, la géométrie est idéalement constituée pour une exploitation temps réel.

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Dans 3DsMax, il a été nécessaire de convertir le JPG des textures en PNG. La texture de base fait 5486 x 5486 pixels soit 30 096 196 pixels pour une maille de 194 365 polygones. A chaque polygone correspond un pavé de 12 pixels de côté, soit une réserve d’environ 2 millions de polygones. Pour le cas présent, toute la surface de l’image n’est pas utilisée.

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Rendu, extrait du maillage et de la carte de texture.

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