Dans ce petit exemple, il a été fait une demande pour une étude solaire suite au dépôt d’un permis de construire d’un immeuble de grande taille. Légitimement, le voisinage s’est ému de la question et a demandé une étude d’impact solaire. Dans le cas présent, il s’est avéré que l’immeuble ne produirait pas d’ombres portées sur la parcelle étudiée et donc que l’impact serait négligeable.
Il s’agit ici de présenter la méthodologie appliquée à une étude réelle accompagnant une plainte au permis de construire. La construction nouvelle pénalise fortement l’accès au soleil du plaignant. La démonstration ci-dessous permet d’évaluer le préjudice qualitativement et quantitavement.
Impact solaire de l’extension d’une maison mitoyenne
1. Présentation générale.
La présente étude permet de visualiser l’impact, en termes de perte d’ensoleillement sur l’habitation de Mme X, de l’extension de la maison de Mme Y. L’analyse compare la situation déposée au permis de construire avec la situation construite. L‘étude se focalisera sur trois moments de l’année : le 21 juin (le soleil est dans sa courbe la plus haute, le 21 décembre, le soleil est dans sa courbe la plus basse et le 21 mars, le soleil est dans une courbe médiane.